Notre équipe
Nos intervenant.es
Dominique Gilkinet
Formatrice certifiée du CNVC et praticienne en AI-CNV, formée aussi au Brain Gym, à la PNL, j’ai une pratique de plusieurs années dans l’enseignement fondamental et la formation d’enseignant.es. Investie dans les actions du groupe Ess’αimer CNV-Éducation, à l’origine de la renaissance du groupe en août 2019.
Mon rêve : un monde où les interactions sont basées sur l’interaction entre des besoins de soutien et de contribution. Où chacun aura développé l’habilité, la confiance à exprimer simplement des demandes en authenticité, des véritables « oui », et à exprimer en toute confiance ses limites, ses « stop ». Bref un monde d’interactions co-responsables et pacifiques.
Mon intention : Ess’αimer la CNV, en accompagnant dans la formation, le développement de projets éducatifs, l’écoute empathique, les adultes d’aujourd’hui, pour qu’ils soient témoins et sources d’inspiration pour les enfants, les jeunes qu’ils accompagnent.
Mira Vanden Bosch
Formatrice certifiée du CNVC
Grâce à mes formations et pratiques de kinésithérapeute-psychomotricienne, de praticienne-formatrice en Bal-A-Vis-X, d’artiste danse, théâtre et dessin, apprendre et s’exprimer par le corps en mouvement, avec le jeu et la poésie, sont des fondamentaux pour moi, la base de mon approche pédagogique pour vivre la relation à soi et à l’autre.
La CNV (par son intégration, par l’accompagnement et la transmission), est venue nourrir, éclairer et donner sens à mes pratiques professionnelles.
Cela rencontre mon besoin de contribuer à une vie meilleure en participant à la formation des adultes référent.es, enseignant.e.s et parents, autour des enfants et des jeunes dans l’éducation.
Travailler avec des partenaires en complémentarité dans une équipe, pour diffuser la CNV vers une pédagogie de la bienveillance, agir dans la société pour soutenir les besoins des apprenant.es et révéler leurs talents – en développant conscience, motivation et engagement – est ce qui donne de la saveur et de l’ancrage à ma vie.
Aurore Squelard
Formatrice certifiée du CNVC et praticienne en AI-CNV.
Spécialiste de la relation d’aide depuis plus de 20 ans, j’ai exercé en qualité de travailleuse sociale dans différents domaines, et notamment en Centre Psycho-Medico-Social au sein de différents établissements scolaires bruxellois (fondamental, secondaire, spécialisé).
Cette expérience de travail, et la naissance de mon second enfant en parallèle, m’ont particulièrement interrogée sur la question de la posture à adopter lorsque notre intention est d’accompagner nos enfants à grandir en confiance, en conscience de ce qui est au service de la vie et de ce qui ne l’est pas. Et d’observer que nos croyances et nos conditionnements d’adultes ont un impact sur la qualité de la connexion que nous pouvons non seulement nous offrir à nous-même mais également offrir aux enfants. Avec des conséquences parfois tragiques pour la relation.
L’approche de la Communication NonViolente, que j’ai découverte en 2009, soutient cet élan à contribuer à davantage de paix et de douceur dans le monde, en intervenant auprès des acteur.ices de l’éducation, notamment. Parce que je suis convaincue que si nous prenons ensemble soin des enfants dès leur plus jeune âge, en les accueillant tels qu’ils sont, en les guidant avec soin et bienveillance, en acceptant leur unicité, un changement de paradigme est possible.
Je suis également très investie dans le domaine de la parentalité, au sein duquel mon intégration du processus de CNV, allié à d’autres approches directement en lien avec l’éducation, me permettent d’accompagner les parents à retrouver leur alignement, à incarner les valeurs qui leur sont chères, à tenir compte de leurs besoins, des besoins de leurs enfants, au service de l’harmonie familiale.
Autres membres de l'équipe
Christophe De Muylder
Après 7 années comme avocat au barreau de Bruxelles, j’ai pris une année sabbatique pour partir au Québec découvrir la justice réparatrice. Cette manière de faire justice remet les personnes au centre et se focalise sur leurs besoins comme dans la CNV. Depuis mon retour en 2015, je co-anime des formations d’éveil réparateur en prison. Je travaille également comme formateur au sein de l’ASBL Arpège-prélude. Cette association organise des groupes de responsabilisation pour des auteurs d’infractions. J’ai rejoint le groupe Ess’aimer CNV-Education car je suis persuadé que la CNV est un outil de prévention et de pacification des relations humaines.
Comme le dit Frédérick DOUGLASS: « il est plus facile d’élever un enfant dans la force et la sagesse que de panser les plaies d’un homme ».
Audrey Vaccin
J’aime dire que je suis tombée dans la CNV comme Obélix dans la potion magique. J’avais 16 ans et ça a changé la perception que je pouvais avoir des relations.
J’ai compris que je pouvais être en lien avec n’importe qui. J’apprends depuis ce jour à cultiver cette qualité d’être.
J’interviens dans les écoles depuis 2012, où je donne des ateliers aux enfants de 6 à 12 ans pour qu’ils puissent devenir médiateurs de leurs conflits grâce à la CNV. Je propose des formations aux équipes pédagogiques et aux parents des enfants qui reçoivent les animations.
Jeune maman de 2 enfants, je vois à quel point ce magnifique processus est précieux. Surtout pour moi dans un premier temps et pour désamorcer des situations parfois délicates.
J’ai à cœur de continuer à œuvrer dans le domaine de l’éducation au sens large pour pouvoir vivre dans le monde auquel j’aspire. Un monde qui prône la bienveillance envers soi-même et envers les autres. C’est un grand défi mais ne dit-on pas que le chemin est plus important que la destination et que peu à peu on peut!
Marlène Bevillard
D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours demandé pourquoi il fallait avoir un avis tranché sur les choses, choisir un camp, être pour ou contre …. Il me paraissait bien souvent difficile de me positionner car, selon moi, ni l’un.e ou l’autre n’avait foncièrement raison ou tort. Il me semblait important de comprendre le contexte, la situation dans son ensemble, que les choses étaient plus complexes et de l’importance de dialoguer pour se comprendre. Un questionnement qui m’a longtemps fait sentir « en marge ».
“Car c’est notre regard qui enferme souvent les autres dans leurs plus étroites appartenances, et c’est notre regard aussi qui peut les libérer.” (Amin Maalouf. Les identités meurtrières)
Notre regard sur le monde est conditionné par un environnement familial, social, sociétal, scolaire … qui façonne nos lunettes dès notre naissance. Il me semble crucial de pouvoir apprendre à prendre conscience de ce cadre de référence qui nous définit et de pouvoir le questionner et l’objectiver afin de s’ouvrir à ses propres possibles, à la différence ainsi qu’aux systèmes de dominations qui régissent nos sociétés. En ce sens je suis une fervente défenseuse de l’approche interculturelle. Je travaille actuellement comme référente psycho-sociale et formatrice en communication et gestion de conflits au sein de l’ASBL CBAI (Centre Bruxellois d’Action Interculturelle).
Il y a plus de 10 ans je suis partie vivre au Canada où j’apprends petit à petit à changer le regard que je porte sur moi-même. 5 ans plus tard, la confiance comme bagage, je pars en Bolivie vivre un rêve d’adolescente. Je réalise que ce qui m’anime au plus profond de moi est juste et a le droit d’exister. En lui donnant vie, je m’ouvre à d’autres possibles.
En 2018 je pose mes valises à Bruxelles, je suis devenue maman. C’est alors que je découvre la CNV. Je souhaite me relier d’une manière plus douce et harmonieuse à mon fils. La CNV me met en chemin de reconnexion avec mon corps, mes besoins, mes émotions…, chemin que je continue aujourd’hui d’arpenter. Formée à la méditation de pleine conscience, aux soins énergétiques, au recueil de récits de vie, j’accompagne de manière indépendante, des personnes désireuses de se réconcilier avec «elles-m’aime » pour mieux se vivre avec les autres. (www.changetesbinocles.com)
Également autrice, je développe des outils pédagogiques sur la thématique de l’identité et de la culture.
Je suis persuadée que si nous prenons le temps de rendre conscient notre inconscient individuel et collectif, nous pourrons gagner en qualité relationnelle, en coopération et en actions porteuses de sens pour faire-ensemble société. Des compétences psycho-sociales à développer dès le plus jeune âge pour que nos jeunes vivent dans un monde «robuste » valorisant la différence comme un socle fertile de la construction identitaire.